Qu’une transformation concerne des centaines de collaborateurs d’une BU ou plus de 80 000 salariés, la dynamique sociale (ou la résistance au changement), dépendra de paramètres que beaucoup préfèrent ignorer en laissant les équipes compenser, ou les délais s’allonger. Les enquêtes sur l’engagement des salariés, les études sur les dérapages des projets de transformations (de vrais scandales d’Etat pour certains, Louvois par ex) sont assez éloquents en soi.

Un de ces paramètres : les Perceptions. Souvent vues comme quantité négligeable voire gênantes, et donc comme un frein, c’est en fait un levier puissant.
Pourquoi ? Les Perceptions enclenchent des process que les neurosciences ont mis en évidence et vont induire une série de réactions, inconscientes pour la plupart d’entre elles, et seront « recouvertes » de biais cognitifs pour donner une vraisemblance comportementale. C’est ce qui en fait la puissance.

Ces réactions feront l’adhésion ou la résistance au changement. Nous voyons à l’échelle d’une organisation ce que cela donne pour une transformation devant «embarquer» les collaborateurs…
Travailler les Perceptions, en les rééquilibrant au besoin, c’est s’allier une force qui sinon sera contre vos transformations.

Bruno Lenoble, Post LinkedIn, Avril 2020

 

Vos enjeux et vos réflexions du moment vous amènent à chercher des REX ? 👉 Contactez-nous